03.09.2011
UN VOYAGEUR ENNUYEUX
Me cherchant sur la terre
Je vois au ciel
Une coupe de saké ronde
Je marche sur mon ombre
Elle me fait trébucher
Et je souris dans l"herbe.
TUANG ZHANG WEI, extr. "Le voyage à Gizhou", p. 26, (traduit par Evelyne Gallion), 1975, éditions China-gates, Gizhou.
Photo © Collection privée Galerie Han Truong, 1967, Ghizou.
Publié dans Ambiguïtés, Littérature étrangère, Littérature moderne, Musique traditionnelle, Paysage, Peinture, Photographie, poésie classique, Spiritualité, Traditions, Voyage | 22:39 | Lien permanent | Imprimer