Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

16.05.2011

LA POSSIBILITE D’UNE ÎLE

île.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les fouilles archéologiques de Burok-Mollos sont capitales pour la connaissance des origines de l'île d'Aohoaïa située à l'est de la mythique ïle de Paques.  De 1971 à 1996, Hubert Pantrase et son équipe d'archéologues mandatés par le CMAC (centre mondial d'archéologie comparée) ont étudié les vestiges du plus ancien territoire de cette île fondé vers 8100 - 8300 avant notre ère (occupé jusque vers 5000). Ces fouilles ont permis de mettre à jour des constructions étranges, laissant apparaître des fresques collectives et les vestiges contenus dans d'anciennes grottes (restes de vaisselle, outils de combat en silex, objets sculptés liés à l'adoration divine de certains animaux marins comme le scorux craedolia ou l'anubrux qu'on pourrait rapprocher aujourd'hui du poisson chat géant du Mékong ou de certains malapterurus electricus). D'autres nombreux objets de parure en picrolite ont été également découverts enfouis sous des collines ainsi que des sculptures (tête de chien, etc...) laissant ouverte la voie de la reconstitution du temple d'Ohorvii décrit dans les écritures (datant d'environ l'an 5300 av JC) dont l'historien Arman Gobbes (1925-2001) ne révéla le contenu que très partiellement pour raison, je cite : "que certains passages dépasseraient l'entendement humain et ne pourraient être compris par aucun de nous". L'essentiel des travaux et traductions de Arman Gobbes étant actuellement sous scellés, ils ne seront révélés au grand public qu'en l'an 2090, selon la volonté du savant. Cependant, Hubert Pantrase et son équipe ayant mis à jour de nouvelles inscriptions sur les rochers morcellés de l'île d'Aohoaïa, réfute l'authenticité et le sérieux des traductions de Arman Gobbes dont la personnalité un peu trouble, devint plus inquiétante à la fin de sa vie et l'on sait d'après les révélations du Dr Henry Menderless qui soigna Arman Gobbes tout au long de sa vie, que ce dernier souffrait d'hallucinations violentes et de schizophrénie. Le mystère de cette maladie Arman Gobbes l'emporta, aucun autre document que les rapports de soin du Dr Henry Menderless ne peuvent en attester. Ce rapport fait succintement mention (dans ses notes annexes), que Arman Gobbes n'avait jamais souffert de troubles psychiatriques avant ses expéditions sur l'île d'Aohoaïa. 

SIMON HOLLESON  "Burok Mollos, le secret d'une île" (traduit par David Vanguard), éditions universitaires Y. Reguiff, 1999, Oxford.

Photo extrait de "Burok Mollos, le secret d'une île". 

© Simon Holleson's archives 1999.

Les commentaires sont fermés.