25.06.2011
LE JOURNAL D’UN FOU
"Je me juge d'une façon plus cruelle que m'auront jugé mes ennemis, bien que mes amis disent partout que l'on ne m'accusait pas. Je dois avoir l'esprit malade. On m'emmène quelque part, où m'apprendre à dormir debout, il me sera agréable de mourir ensuite sans savoir pourquoi ils se sont obstinés à me faire coucher avec les fous."
OPHELIE BARALLET, extr."100 mémoires à Saint Anne" editions Orsalys", 1979, Paris
Publié dans Ambiguïtés, Biographie, Littérature française, Littérature moderne, Mort, Musique Electro-pop | 09:11 | Lien permanent | Imprimer
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